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lundi 4 avril 2016

La Cabane dans les Bois



Nom de code :
La Cabane dans les Bois

Auteur du dossier :
Drew Goddard

Taux de contamination :




Contenu du dossier :

Le cousin de Kurt lui prête sa cabane dans les bois, le jeune homme n'hésite pas une seconde. Il y emmène sa petite amie et sa meilleure amie Dana, ainsi que ses potes Marty, le défoncé, et Holden, l'intello. La soirée commence chaudement, sous l'influence de l'alcool et des étranges émanations sorties de la ventilation de cette sinistre masure. Puis la cave s'ouvre, et les cinq curieux s'y engouffrent, et y réveillent une famille de zombies bourrins, péquenots et déjantés. Mais étrangement, la bande de jeune sent qu'elle est observée, et pas que par des monstres assoiffés de sang...



Avis des experts :

Un film qui sort des sentiers battus. Réalisé par Drew Goddard, avec l'aide du grand Joss Whedon, on pouvait s'attendre à quelque chose de surprenant, et c'est tout-à-fait le cas. Si la première partie du film reste résolument classique : des jeunes qui se coltinent des zombies dans le trou du cul du monde, la deuxième partie réserve son lot de surprises. Servi par un casting que seul Whedon pouvait réunir, ses chouchous, ses collègues sur Avengers (oui, Thor, mesdames et messieurs, se faisant botter le cul par des zombies !). Et gros point positif du film, son humour, très décalé et critique des séries Z classiques, on adore !

Mon coup de cœur :

Le père de la famille de zombies (enfin, d'après moi c'est le père), qui se sert d'un piège à loups comme d'un lasso : il balance, ça se referme sur sa proie, et il tire un bon coup. Certainement un cousin de Scorpion, dans Mortal Kombat. bourrin à souhait.


3 commentaires:

  1. Je valide la critique, j'avais vraiment apprécié le ton de ce film. :)

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  2. Whedon fidèle à lui-même, un univers techno-horrifique, vraiment sympa à voir.

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  3. Alors je te trouve bien gentil. J'avais adoré le postulat de base et les moyens dont se dote le film.
    Mais la fin en apothéose d'incrédulisme et improba-fuck.
    Et la mèche qui fait l'originalité de l'univers est vendue trop vite.

    Bref, une excellente idée sous-sous-exploité au profit d'effets numériques tape-à-l'oeil et de surenchère.

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